La Bible et les autres religions

Plusieurs religions trouvent leur racine dans les récits bibliques : le christianisme, le judaïsme (dans l’Ancien Testament) et même l’Islam, qui voit en un des fils d’Abraham un de ses patriarches. L’Islam reconnaît même Jésus comme un prophète. Dans l’Ancien Testament, nous rencontrons l’adoration de plusieurs autres dieux dont les formes de rituels ont changé ou disparu aujourd’hui. Le Nouveau Testament abonde en groupes religieux parfois proches de la vérité, mais quand même réprimés par les écritures (ils sont appelés faux prophètes, hérétiques). Au début du siècle, il y avait sûrement autant de « sectes » qu’aujourd’hui. La Bible définit clairement la pensée de Dieu, les moyens de lui être agréable et comment s’assurer que nous avons accès à Lui et à sa faveur.

La vérité et l’erreur en matière de religion et de théologie sont clairement différenciées dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament. La Bible ne laisse pas sous-entendre que les diverses religions seraient des chemins valables pour se rendre à un même Dieu. Voyons deux passages : « Bien-aimés, n’ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s’ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde » (1 Jean 4.1). « Écoute, Israël! L’Éternel, notre Dieu, est le seul Dieu » (Deutéronome 6.4).

Il est clair que parmi les hommes, il y a beaucoup de bonnes personnes qui ne professent pas être chrétiennes. Ce qui différencie le christianisme des autres religions, c’est que le chrétien croit qu’il a un Sauveur qui a vaincu la mort pour lui. Tous les autres fondateurs de religions se sont éteints un jour. Notons ici que le critère de Dieu pour accepter une personne au ciel n’est pas la bonté humaine ou la sincérité; Dieu nous offre un Sauveur. 

Puisqu’en général les religions ne sont pas compatibles entre elles, j’ai tôt eu la conviction que soit elles sont toutes fausses, ou bien qu’une seule contient la vérité. La naissance, la vie, la mort et la résurrection du Christ mettent le sceau d’approbation sur le christianisme.