Si nous commençons à lire la Bible par l’Ancien Testament, nous allons retrouver beaucoup de conflits, de guerres, de traîtrises, de sang, de rituels et même de « massacres » au nom de Dieu. Dans le Nouveau Testament, c’est complètement différent. La parole célèbre de Jésus résonne encore aujourd’hui : « Si quelqu’un te frappe sur une joue, présente-lui aussi l’autre. Si quelqu’un prend ton manteau, ne l’empêche pas de prendre encore ta tunique. » (Luc 6.29).
En étudiant les écritures, nous constatons que même si Dieu ne change pas, Il n’a pas toujours eu le même plan de match avec nous, et ses attentes envers l’homme diffèrent d’une période de temps à l’autre. Par exemple, avant la résurrection, le croyant devait offrir à Dieu un agneau en sacrifice pour le pardon de ses péchés. Depuis cet évènement, Jésus est l’Agneau de Dieu qui enlève le péché du monde; donc, plus besoin de sacrifices d’animaux. Pour une bonne partie de l’Ancien Testament nous voyons Dieu se révélant en particulier au milieu d’un peuple : les Juifs. La survie de cette nation nécessitait le genre de conflits qu’ils ont connus. Dans un contexte où Dieu révélait sa sainteté, j’arrive à imaginer l’expression de sa colère. Dans le Nouveau Testament, il nous a exprimé par son Fils, sa grâce. Dieu ne sanctionnerait pas aujourd’hui ces actions du passé. Dans l’Ancien Testament, il nous a donné la loi. Celle-ci amena la condamnation et le jugement. Cette période de l’histoire nous prépare à chercher une solution. Le Nouveau Testament nous montre que c’est par la grâce de Dieu que nous pouvons changer et trouver le salut. Par la puissance de l’Évangile, Christ va gagner les cœurs; ce ne sera pas par le tranchant de l’épée.